
Pierre Oliver, maire du 2e arrondissement, a dénoncé ce mélange des genres : « Notre groupe ne souhaitera plus voter des subventions à des associations qui sont aussi militantes, qui peuvent presque être associées à des succursales d’EELV ». Selon lui, les associations comme VRAC, qui reçoivent des subventions municipales tout en ayant des liens politiques évidents, posent un problème d’impartialité et de transparence.
Nathalie Perrin-Gilbert, un soutien prudent mais critique
Nathalie Perrin-Gilbert, adjointe au maire déléguée à la Culture, pourtant soutien de Boris Tavernier, s’est abstenue lors du vote, tout en précisant : « je n’aimerais pas que cela soit décompté de son compte de campagne ». Elle a exprimé des réserves sur le timing de la subvention, soulignant que la décision aurait dû être reportée à septembre, pour éviter tout soupçon de favoritisme électoral.
Boris pas vraiment gêné de ce conflit d’intérêt. « Arrête de m’emmerder Marco, c’est trois fois rien cette subvention ! »
Ce vote controversé révèle une gestion douteuse et non déontologique de la part de Grégory Doucet et son équipe. L’indignation des membres du conseil municipal, tous bords confondus, souligne les préoccupations éthiques entourant cette subvention.
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Publish date : 2024-07-03 05:04:17
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