12:52
Qui a rallié la « Droite républicaine » emmenée par Laurent Wauquiez ?
Pour l’heure, 44 députés se sont inscrits au sein du groupe « Droite républicaine », selon les informations du Parisien. Cinq élus Républicains ne siégeront pas à leurs côtés : Aurélien Pradié, Raphaël Schellenberger, Virginie Duby-Muller, Stéphane Viry et Jean-Luc Bourgeaux.
12:36
Le gouverneur de la Banque de France redoute les « coûts salariaux excessifs » que pourraient engendrer des mesures du NFP
« Je crois (…) que dans la compétition économique, nos PME, nos entreprises ne peuvent pas être alourdies par des coûts salariaux excessifs, y compris le Smic, et par des impôts trop lourds », estime-t-il. « Ça serait très mauvais pour l’emploi tout de suite, et très mauvais pour le pouvoir d’achat à terme », a jugé François Villeroy de Galhau.
Dans la même temps, le ministre de l’Economie Bruno Le Maire annonce qu’il faudrait « dégager 25 milliards d’euros d’économies pour tenir nos objectifs de finances publiques » en 2024.
12:19
« La macronie est terminée », fustige l’ex-député Gilles Le Gendre
Le macronisme, « en tant que force de transformation du pays dans le cadre d’un programme cohérent, c’est terminé », a fustigé Gilles Le Gendre sur BFM TV. Ce marcheur de la première heure n’avait pas obtenu l’investiture du parti Renaissance dans la circonscription où il avait pourtant été élu en 2017 puis réélu en 2022. Il s’était désisté après être arrivé 3e dans la 2e circonscription de Paris au premier tour des législatives anticipées.
« La seule coalition qui existe aujourd’hui, c’est une coalition contre le président de la République », poursuit l’ancien président du groupe LREM, qualifiant Emmanuel Macron de « dynamiteur » depuis la dissolution de l’Assemblée nationale.
12:10
Boris Vallaud « ne souhaite pas » un recours au 49.3
« Nous ne pouvons pas reprocher une brutalisation du Parlement par Emmanuel Macron depuis sept ans et faire de même. N’imposons pas nos mesures, essayons de convaincre sur notre programme et de rassembler », a plaidé le député des Landes.
Boris Vallaud, président du groupe PS à l’Assemblée. REUTERS/Gonzalo Fuentes
Qui souhaite-t-il voir à Matignon ? Olivier Faure, patron du PS, « a toute la légitimité » pour assurer les fonctions.
11:52
Marine Le Pen dénonce « l’extrême-gauche syndicale »
Marine Le Pen critique « l’extrême-gauche syndicale », après les appels à rassemblement lancés par des syndicats, notamment pour se rendre devant l’Assemblée nationale le 18 juillet. « Depuis dimanche soir, un courant minoritaire tente de violenter les institutions, de tordre le bras à la démocratie, de prendre en otage la République », estime la députée RN.
11:38
« Pas de gagnant », selon Dupond-Moretti
« Il n’y a pas de gagnant, c’est vrai », affirme Eric Dupond-Moretti sur RTL. « La seule possibilité pour devenir une majorité c’est qu’on travaille ensemble », martèle-t-il. « Cet effort que nous avons fait quand nous sommes allés voter, les élus doivent le faire » pour former une coalition, réclame le ministre de la Justice. Pour lui, « il y a moyen de travailler ensemble ». « Ce qui compte, c’est les idées, les programmes, mais ce n’est certainement pas les postes », tranche-t-il.
11:20
François Bayrou prêt à « aider » à sortir de l’impasse
Pour François Bayrou, il faut, au gouvernement, « des personnalités qui acceptent de dépasser leur identité politique ». Elles doivent « être marquées d’expérience », poursuit-il, sur TF1. « Je suis là pour aider », plaide le patron du MoDem, prêt à « aider à sortir de cette impasse dans laquelle on se trouve ».
10:55
« Sortir de la logique d’affrontement », plaide Bayrou
Invité de « Bonjour ! », la matinale de TF1, François Bayrou demande à « ceux qui ont aidé à écarter les extrêmes » d’accepter de renoncer « à leurs injonctions, leurs lignes rouges comme ils disent », car « la seule possibilité, c’est que l’on propose un rassemblement », juge le patron du MoDem. Ce n’est pas « dans les confrontations politiques que l’on trouvera la réponse. Il faut sortir de la logique d’affrontement », insiste-t-il.
10:38
Poutou appelle à « des manif, des grèves »
Pour l’ancien candidat du NPA à la présidentielle, qui n’a pas réussi à être élu député dimanche, il est « très probable » que pour « obtenir un gouvernement de gauche », il faille « pousser très fort par en bas », via « une mobilisation unitaire, des manif, des grèves », plaide-t-il ce jeudi.
10:23
Pour Frédéric Valletoux, Macron a « posé des évidences »
Emmanuel Macron a « posé des évidences » avec sa lettre. « Personne n’est en mesure de gouverner, de manière sereine, seul. Point », tance Frédéric Valletoux, ministre délégué chargé de la Santé, sur CNews. La solution, c’est « de discuter et s’entendre » dans un « pacte de gouvernement, un contrat de mandature », plaide-t-il.
10:09
« Une affaire d’heures » avant que la gauche propose un Premier ministre, selon Manon Aubry
La lette d’Emmanuel Macron est « vraiment choquante » car le chef d’Etat « refuse de reconnaître sa défaite », pointe l’eurodéputée LFI Manon Aubry sur France info. « Le problème n’a rien à voir avec le nom du Premier ministre », estime-t-elle par ailleurs, assurant qu’un profil serait présenté rapidement. « C’est une affaire d’heures », assure-t-elle.
09:58
Une situation « inextricable » à l’Assemblée pour Bruno Retailleau
« Le responsable de cette crise, c’est Emmanuel Macron », tacle Bruno Retailleau, président du groupe LR au Sénat, sur CNews-Europe 1. « Ses propres amis le tiennent à distance », insiste-t-il, évoquant Edouard Philippe et Gabriel Attal. Depuis le second tour des législatives, la situation actuelle est « inédite, inextricable », poursuit-il. Pour lui, si un ministre de gauche était nommé, « la motion de censure tomberait immédiatement ». Il souhaite plutôt « une personnalité » comme Jean Castex, même si lui a « perdu la qualité de société civile ».
09:44
Laurent Berger Premier ministre ? « Il ne s’engagera pas en politique », écarte Marylise Léon
La proposition de Raphaël Glucksmann de placer Laurent Berger à Matignon, lancée il y a quelques semaines, a peu de chance d’aboutir, selon sa successeuse Marylise Léon. « Je ne vais pas répondre à sa place » mais « j’en ai parlé avec lui » et « il reste fidèle à ses engagements », avance la numéro 1 de la CFDT. « Il a été un très grand syndicaliste, il n’est pas d’usage que les responsables de la CFDT fasse de la politique. (…) Je pense qu’il va rester fidèle à la tradition des secrétaires généraux de la CFDT : il ne s’engagera pas en politique », tranche-t-elle.
09:25
Le Nouveau Front populaire « sous emprise » de Mélenchon, selon Thevenot
Le NFP est « sous emprise d’un seul homme : Jean-Luc Mélenchon », tacle Prisca Thevenot sur BFMTV, « tout nous oppose » à lui « et à la France insoumise », insiste-t-elle, jugeant que le Nouveau Front populaire est une « coalition qui n’avait que des fins électorales ».
Un Premier ministre classé ni à gauche, ni à droite est « un scénario possible, comme plein d’autres », juge encore la porte-parole du gouvernement réélue députée dimanche.
09:17
« C’est légitime de partir du programme » du NFP, estime Marylise Léon
Après l’obtention d’une majorité relative pour le Nouveau Front populaire, « c’est légitime que ce bloc arrivé en tête pose ses conditions et que l’on parte de leur programme, c’est ce qu’ont demandé les citoyens. C’est important de respecter le vote », insiste aussi la cheffe de la CFDT Marylise Léon sur France Inter, tout en plaidant pour des « compromis » et une volonté de « composer ».
Elle valide notamment « l’abrogation du report de l’âge » de départ à la retraite, « indispensable », et soutient la hausse du Smic, également une proposition de l’alliance de gauche. Elle pose plus largement plusieurs priorités : le pouvoir d’achat, « les enjeux du travail », une « transition écologique juste » et des services publics.
09:11
« Rien ne peut plus être comme avant », tonne Marylise Léon, appelant les politiques à se « réveiller »
Invitée sur France Inter, la secrétaire générale de la CFDT Marylise Léon explique avoir adressé mercredi « un courrier à l’ensemble des députés pour leur dire qu’il faut aussi compter sur la société civile (…) pour pouvoir un peu réparer notre démocratie. « On est vite passé à autre chose » mais « on a frôlé la catastrophe » d’une arrivée du RN au pouvoir, et « rien ne peut plus être comme avant », insiste-t-elle.
« Réveillez-vous », tonne-t-elle à l’adresse des dirigeants politiques. « Il est temps de partager le pouvoir et de nous écouter. »
La numéro 1 du syndicat se dit « un peu exaspérée d’entendre parler d’alliances » : « comment on répond aux attentes des travailleurs ? », s’interroge-t-elle, pointant l’« énorme responsabilité » des forces politiques d’y répondre et d’être « enfin à l’écoute ».
09:09
Gérard Larcher : « Je n’aurais pas dîné avec Marine Le Pen »
Pour Gérard Larcher, « le temps du Parlement est venu ». « Il faut sortir de la verticalité (du pouvoir), je l’ai dit les yeux dans les yeux au président », affirme celui qui était contre la dissolution de l’Assemblée nationale. « Le président a fait une faute, je lui ai dit. Il nous a mis dans le pétrin, à lui de nous en sortir », juge-t-il.
Le sénateur des Yvelines souhaite une stabilité gouvernementale jusqu’à la rentrée. Le vote du budget à l’automne sera « un moment de responsabilité parlementaire » pour « éviter un risque de déroute financière » de la France. Il évoque la future composition d’un gouvernement « le moins politique possible » qui pourrait s’accorder sur des textes, au cas par cas.
09:04
Jeux Olympiques : « à ce stade nous n’avons pas prévu de grève », assure Sophie Binet
Quant aux Jeux olympiques, « à ce stade nous n’avons pas prévu de grève », avance Sophie Binet sur LCI, assurant qu’il n’y a « pas de grève politique ». « Mais si Emmanuel Macron continue à jeter des bidons d’essence sur les incendies qu’il allume… », ajoute-t-elle, sans terminer sa phrase.
Elle se dit à nouveau « très choquée » de la décision d’Emmanuel Macron d’une dissolution « à un mois des JO », un choix « irresponsable » selon elle. Elle appelle encore le président à « jouer son rôle d’homme d’État » en respectant le résultat des urnes.
08:56
Sophie Binet appelle à maintenir une « pression populaire » pour que « le résultat des élections soit respecté »
La secrétaire générale de la CGT Sophie Binet appelle sur LCI à répondre à l’appel de la CGT cheminots à des rassemblements le 18 juillet prochain. « Je pense qu’il faut toutes et tous rejoindre ces rassemblements », pour « mettre l’Assemblée nationale sous surveillance », insiste-t-elle, exhortant à maintenir une « pression populaire et citoyenne pour que le résultat des élections soit respecté ».
« On veut du changement immédiat » et non le maintien d’un « gouvernement illégitime », poursuit-elle, évoquant trois objectifs : l’abrogation de la réforme des retraites, la hausse des salaires, dont l’augmentation du Smic, et le renforcement du financement des services publics.
08:52
Lettre de Macron : « On a l’impression d’avoir Louis XVI qui s’enferme à Versailles », fustige Binet
« Il faut qu’Emmanuel Macron sorte du déni. Il a perdu. (…) Maintenant il faut qu’il respecte le résultat des urnes », martèle sur LCI la numéro 1 de la CGT Sophie Binet, se disant « très inquiète » après la publication de la lettre du président aux Français, affirmant que l’on se trouve « au bord d’une crise de régime ».
« Même plus crédible dans son propre camp », le président continue de « jeter des bidons d’essence à chaque fois qu’il y a des incendies », accuse-t-elle. Elle l’appelle au contraire à « entendre le résultat des urnes », en demandant à la gauche de désigner un Premier ministre et en laissant les parlementaires trouver des « majorités de projets ». « Qu’il laisse ce nouveau gouvernement faire son travail », insiste-t-elle.
« On a l’impression d’avoir Louis XVI qui s’enferme à Versailles. Il faut écouter le pays et arrêter d’être aussi déconnecté. (…) Il risque de le plonger dans le chaos », s’alarme encore la syndicaliste.
08:50
Larcher défend Emmanuel Macron
Le président du Sénat Gérard Larcher a des mots complaisants pour Emmanuel Macron. « Le président fait un constat : personne n’a de majorité relative », note le Républicain sur BFMTV/RMC. « Il faut se donner un peu de temps pour répondre aux angoisses des Français », approuve le sénateur.
Gérard Larcher confirme qu’il n’est pas candidat à un poste de Premier ministre et qu’il souhaite rester président du Sénat.
08:44
Larcher opposé à un Premier ministre issu du NFP
Gérard Larcher répète son opposition à la nomination d’un Premier ministre issu du Nouveau Front populaire. « Cela ne correspond pas à la volonté des Français », martèle le président du Sénat. Selon lui, l’union de la gauche est arrivée en tête du second tour uniquement pour faire barrage au RN.
Le Républicain dénonce le projet d’abrogation de la réforme des retraites voulue par le NFP et la « haine des flics » prônée selon lui par La France insoumise. Il assure qu’il appellera à la « censure » en cas de gouvernement issu du Nouveau front populaire.
08:44
Les discussions encore en cours pour un candidat pour Matignon à gauche
« Rien ne coince » pour choisir un Premier ministre à gauche, « mais nous prenons la question avec méthode », défend Mathilde Panot sur France info, quatre jours après le second tour des législatives. « Nous prenons le temps de proposer quelque chose solide », justifie-t-elle. Mais une « équipe gouvernementale » sera présentée « d’ici la fin de semaine », assure-t-elle.
08:40
Pour Mathilde Panot, un deux poids deux mesures sur la majorité relative
« Je suis énervée quand j’entends qu’il faut une stabilité » pour le pays, explique Mathilde Panot sur France info, car « c’est le choix d’Emmanuel Macron de l’avoir fait (la dissolution) avec les Jeux olympiques ». Elle dénonce, par ailleurs, un deux poids deux mesures. « Si les macronistes ont pu gouverner » avec une majorité relative, « pourquoi ne pourrions-nous pas ? », interroge la députée, présidente du groupe LFI à l’Assemblée.
08:35
Mathilde Panot dénonce un « coup de force démocratique et présidentiel »
Mathilde Panot, députée Nouveau Front populaire/La France insoumise du Val-de-Marne et réélue présidente du groupe à l’Assemblée nationale, dénonce sur France info un « coup de force démocratique et présidentiel » qui « nie les résultats des urnes ».
08:30
Jean-Noël Barrot souligne « l’expérience » de François Bayrou
François Bayrou, Premier ministre ? « Il a une expérience et une certaine autorité. (…) Il sait se hisser à la hauteur de la situation », juge Jean-Noël Barrot.
« Le RN est un adversaire que nous combattrons toujours, mais on ne peut pas faire comme si les députés élus n’étaient pas légitimes », donc dans la répartition des postes clé de l’Assemblée nationale, « il serait difficilement compréhensible qu’ils ne soient pas représentés », estime le ministre du Public Sénat.
08:24
« Souhaitable » que les ministres élus députés puissent quitter le gouvernement d’ici le 18 juillet, pour Jean-Noël Barrot
« C’est souhaitable que les ministres élus députés » puissent être libérés le 18 juillet, afin de pouvoir participer à l’élection du bureau et du président de l’Assemblée nationale, plaide Jean-Noël Barrot.
08:15
La majorité des « modérés », la seule possible pour Barrot
« Personne ne sort clairement vainqueur » ou du moins « en situation de former une majorité », estime sur Public Sénat Jean-Noël Barrot, ministre délégué chargé de l’Europe, député réélu des Yvelines, vice-président du MoDem. « La seule majorité trouvable, c’est celle qui rassemble les modérés », juge-t-il. Les responsables de la gauche et de la droite modérée doivent « cheminer les uns vers les autres » avant qu’Emmanuel Macron nomme un Premier ministre, estime le ministre, qui plaide pour « une forme d’accord provisoire, (…) qui n’a rien à voir avec 2027 ».
08:10
« La gauche n’est pas majoritaire à l’Assemblée », pour Rachida Dati
« Les Français ne veulent pas des extrêmes », a martelé Rachida Dati sur France 2. Interpellée sur le fait que le bloc de gauche est arrivé en tête du second tour des législatives, la ministre de la Culture s’est étonnée : « Ah bon ? Ils ne sont pas majoritaires et ce n’est pas un bloc. Mélenchon a dit que ça ne sera que le programme du NFP. » « Les Français ont lancé un message clair, le président de la République tend la main à tous les Républicains », a poursuivi la ministre. « C’est une victoire pour personne, la gauche a à peine 27 % et ils ne sont d’accord sur rien. »
07:50
Sandrine Rousseau candidate pour la présidence de l’Assemblée
Sandrine Rousseau, députée NFP-EELV de Paris, confirme sur RMC qu’elle est candidate au Perchoir. Elle a pris position pour « que nous n’utilisions pas le 49.3 », rappelle-t-elle. « Il faut accepter de perdre » sur des textes et sortir de « la violence pour la violence, motion de censure contre 49.3 », détaille-t-elle sur RMC.
07:47
Sandrine Rousseau dénonce un « flou démocratique »
Sandrine Rousseau, députée NFP-EELV de Paris, juge la lettre d’Emmanuel Macron « inquiétante ». Sur RMC, elle dénonce un « flou démocratique » et estime que « personne ne respecte » les résultats du premier tour des législatives. « Nous sommes dans une situation qui me semble extrêmement instable », poursuit-elle encore.
07:20
Et si le scrutin des législatives était différent ?
07:13
Premières réunions, premières ambitions
Mercredi, plusieurs des groupes qui constituent l’Assemblée nationale se sont réunis, pour élire leur président et discuter des stratégies. C’est le cas du RN, fort de ses 125 députés. Devant ses troupes, Marine Le Pen s’est félicité d’être « dans l’opposition ». quand « les autres sont dans l’expectative ».
06:53
La CGT appelle à un rassemblement le 18 juillet
Dans une lettre publiée ce mercredi soir, la CGT appelle « solennellement Emmanuel Macron à respecter le résultat des urnes » et réclame un gouvernement formé « au plus vite, autour du programme du Nouveau Front populaire ». Elle appelle à des rassemblements le 18 juillet devant les préfectures et à proximité de l’Assemblée nationale.
06:46
Le Pen dénonce un « cirque indigne »
À l’opposé du spectre politique, Marine Le Pen a également réagi à la lettre d’Emmanuel Macron publiée hier. Elle estime qu’il y invite à « faire barrage à LFI qu’il a contribué à faire élire il y a trois jours » et juge que « ce cirque devient indigne ».
06:36
« Le retour du droit de veto royal »
« C’est le retour du droit de veto royal sur le suffrage universel », a réagi de son côté Jean-Luc Mélenchon, appelant Emmanuel Macron à « s’incliner » et « appeler le Nouveau Front Populaire » à gouverner.
06:05
Olivier Faure exclut une alliance sans LFI
« J’ai fait le choix du rassemblement de la gauche et je n’en bougerai pas », a déclaré hier soir le patron des socialistes Olivier Faure, interrogé sur l’alliance du PS avec La France insoumise, contestée jusque dans son parti. « Le peuple français a parlé, il faut maintenant respecter son choix. (…) Le président de la République doit respecter son devoir de républicain, respecter le suffrage universel et respecter le vote des Français », a ajouté Olivier Faure sur France 2.
06:03
Comment Macron veut reprendre la main
06:00
Bonjour à tous
Bienvenue dans ce nouveau direct dédié à la situation politique en France. Suivez tout au long de la journée les développements, quatre jours après le second tour des élections législatives.
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Publish date : 2024-07-11 10:54:00
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