premier grand débat aujourd’hui, Emmanuel Macron s’alarme d’un risque de « guerre civile »

Élections législatives

6:41

« Un président ne devrait pas dire ça »: Bardella dénonce les propos de Macron sur le risque de « guerre civile »

« Ce sont eux qui font peur aux Français ». Le président du Rassemblement national Jordan Bardella a fustigé ce lundi sur M6 le camp présidentiel qui avance que l’arrivée au pouvoir « des extrêmes » représente un danger majeur, Emmanuel Macron allant jusqu’à estimer que leurs « programmes » mènent à « la guerre civile ».

« Un président de la République ne devrait pas dire cela », a déclaré Jordan Bardella.

II a ainsi assuré qu’il voulait mettre fin à « l’insécurité » que ressentent « des millions de Français », promettant que sa « volonté, c’est de répondre à cette demande d’autorité ».

Notre article

6:21

« Pour mettre le feu, il est toujours là »: Mélenchon dénonce les propos de Macron sur le risque de « guerre civile »

Peu après des propos d’Emmanuel Macron – déjà très commentés – sur le risque de « guerre civile » dans les programmes des « extrêmes », le leader insoumis a pointé du doigt sur France 2 ce lundi la responsabilité du chef de l’État.

« Lui, pour mettre le feu, il est toujours là », a déclaré Jean-Luc Mélenchon.

Il a notamment mentionné la crise en Nouvelle-Calédonie et l’incarcération en métropole de certains dirigeants kanaks.

« Tourner la langue sept fois dans sa bouche est un vieux con – sur le risque de « guerre civile » dans les programmes des « extrêmes », le leader insoumis a pointé du doigt sur France 2 la responsabilité du chef de l’État.

6:13

Éric Ciotti invité de BFMTV-RMC

Éric Ciotti est invité de BFMTV-RMC pour le Face-à-face présenté par Apolline de Malherbe à 8h30.

Le député sortant des Alpes-Maritimes est toujours président du parti Les Républicains, même si les membres de son parti veulent l’exclure depuis qu’il a noué une alliance avec l’extrême droite pour les élections législatives anticipées.

5:15

« Impardonnable »: Olivier Faure fustige les propos d’Emmanuel Macron sur les programmes des « extrêmes » qui mèneraient « à la guerre civile »

Selon le Premier secrétaire du PS, Emmanuel Macron a mis « sur le même plan » le Nouveau Front populaire et le Rassemblement national en alertant sur les programmes des « extrêmes » qui mèneraient « à la guerre civile ».

« Impardonnable, a écrit Olivier Faure sur son compte X. Mettre sur le même plan le Front populaire qui veut défendre une République écologique et sociale et l’extrême droite qui veut revenir sur nos principes fondamentaux comme le droit du sol, ce que même Vichy n’avait pas osé faire, est une honte. »

5:00

Raphaël Glucksmann estime qu’il est « désormais clair et net » que Jean-Luc Mélenchon ne sera pas Premier ministre

L’eurodéputé Place publique a réagi à la possible nomination de Jean-Luc Mélenchon à Matignon en cas de victoire du Nouveau Front populaire aux législatives.

« C’est désormais clair et net: Jean-Luc Mélenchon ne sera pas Premier Ministre vu que tous les autres partis s’y opposent », a écrit Raphaël Glucksmann sur son compte X.

4:45

« Il y a un malentendu »: Jean-Luc Mélenchon assure n’être « candidat à rien »

Alors qu’il a mentionné ce week-end avoir l' »intention de gouverner ce pays » en « ne s’éliminant pas » et « ne s’imposant pas », Jean-Luc Mélenchon a voulu apporter une précision sur un « malentendu absolu depuis le début ».

« Je ne suis pas concerné par cette bataille. Je ne fais pas une carrière (…) Je ne suis candidat à rien », a-t-il lancé sur France 2.

Il a notamment mentionné plusieurs noms au sein de son parti capables selon lui d’être nommés à Matignon: Manuel Bompard, Mathilde Panot, Clémence Guetté, Éric Coquerel ou encore Younous Omarjee. Jean-Luc Mélenchon a également fustigé les « petites guerres internes » dans le Nouveau Front populaire. « Je ne demande rien », a-t-il plus tard réitéré.

4:30

Gabriel Attal, Jordan Bardella et Manuel Bompard s’affrontent aujourd’hui

Gabriel Attal, Jordan Bardella et Manuel Bompard vont s’affronter sur le plateau de TF1 aujourd’hui, alors que l’extrême droite caracole en tête des sondages à cinq jours du premier tour de législatives à suspense. Le Premier ministre, le président du Rassemblement national et le coordinateur de La France insoumise ont rendez-vous à 21 heures pour ce premier grand affrontement télévisé entre les trois blocs, dans la dernière ligne droite de cette campagne éclair.

4:15

Emmanuel Macron s’alarme d’un risque de « guerre civile »

Les programmes des « deux extrêmes » mènent « à la guerre civile »: Emmanuel Macron a frontalement attaqué ses rivaux hier, dans un nouvelle prise de parole fleuve, auprès du podcast « Génération Do It Yourself ».

« La réponse de l’extrême droite » en matière d’insécurité: « parce qu’elle renvoie les gens ou à une religion ou à une origine, c’est en ça qu’elle divise et qu’elle pousse à la guerre civile », a-t-il lancé. Et en face, LFI propose « une forme de communautarisme », « mais ça c’est aussi la guerre civile derrière ».

4:00

Plus que cinq jours avant le premier tour

Bonjour à toutes et à tous, et bon réveil! Bienvenue sur ce direct consacré au suivi de l’actualité politique de ce mardi 25 juin. Deux semaines après l’annonce de la dissolution de l’Assebmlée nationale, la campagne des législatives anticipées convoquées par Emmanuel Macron entre dans sa dernière ligne droite.

Source link : https://www.bfmtv.com/politique/elections/legislatives/direct-legislatives-premier-grand-debat-aujourd-hui-emmanuel-macron-s-alarme-d-un-risque-de-guerre-civile_LN-202406250051.html

Author :

Publish date : 2024-06-25 04:13:59

Copyright for syndicated content belongs to the linked Source.

Quitter la version mobile