Législatives
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Elections législatives 2024dossierLe leader insoumis est revenu lundi soir sur France sur la polémique l’opposant à Marine Tondelier, Olivier Faure et Fabien Roussel, les trois chefs des autres partis de l’alliance de gauche opposés à sa nomination à Matignon. Si ces derniers lui reprochent un activisme médiatique néfaste à leur dynamique collective, lui estime au contraire que son nom «ouvre des portes».
De temps à autre, la secrétaire nationale des Ecologistes, Marine Tondelier, sait se montrer cash. A l’aube des européennes, par exemple, c’est elle qui avait rejeté le plus clairement l’idée, portée par La France insoumise, d’une liste unique de toute la gauche. «Quand c’est non, c’est non. […] il faut arrêter de faire les forceurs», avait-elle ainsi lâché à l’attention du mouvement mélenchoniste. Ce lundi 24 juin, l’élue d’opposition d’Hénin-Beaumont (Pas-de-Calais) a été tout aussi claire sur un autre sujet. Jean-Luc Mélenchon «n’est pas le leader du Nouveau Front populaire et il ne sera pas Premier ministre», a-t-elle assuré dans un entretien à l’AFP alors que la question pollue la campagne de la gauche réunie depuis l’annonce de la dissolution, le 9 juin au soir. La dernière flèche d’une attaque coordonnée avec ses homologues communiste et socialiste, Fabien Roussel et Olivier Faure, à quelques heures d’une nouvelle intervention de Jean-Luc Mélenchon sur France 2.
«Je ne suis candidat à rien, a affirmé l’ancien élu de l’Essonne puis des Bouches-du-Rhône. Ce n’est pas le sujet pour moi, il y a un malentendu
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Publish date : 2024-06-24 17:51:00
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